X-COM : Love for LovecraftL'image utilisée a été modifiée par mes soins à partir de deux autres images :
Le logo d'origine de X-COM : Terror from the DeepEt ce super fan art de X-COM, toujours.
http://img13.deviantart.net/a588/i/2014/217/5/4/terror_from_the_deep_by_kilzig-d7tviiw.jpgLa campagne est ainsi un hommage absolument pas caché au deuxième épisode (et le plus difficile) de la série X-Com. Tout ou presque provient de là.
Les créatures mutantes rencontrées par les PJs étaient des version Warcraft de celles rencontrées par les aquanautes de X-Com.
Les Murlocoïdes étaient ainsi l'équivalent des Aquatoids, etc. Une liste complète des créatures de TFTD est disponible sur l'UFOpaedia :
http://ufopaedia.org/index.php/Alien_Life_Forms_(TFTD)Le terme Aquanaute, bien que correct en français, me vient également de Terror from the Deep, de même que les noms des sous-marins rencontrés par certains personnages (le Manta, le Barracuda et le Triton) sont les noms de classes de sous-marins utilisables par le joueur dans Terror from the Deep.
De la même manière, l'idée d'une cité perdue engloutie, le nom de la cité (T'leth) viennent aussi de là, mais sont d'évidentes références au mythe de Cthulhu de Lovecraft.
Le Père est ainsi une référence directe au Dieu Noir endormi, de la même manière que le contrôle mental de ses troupes le renforçait.
Le thème d'une vie sous-marine sapiens est également un grand classique de la science-fiction, inutile de s'attarder dessus.
Ce qui aurait du êtreL'event aurait du durer autant... mais avec beaucoup plus d'ampleur.
Il aurait ainsi été possible pour ceux le souhaitant de ne pas participer aux combats sous l'eau, mais d'aider au développement et à la recherche de technologies et magies permettant d'améliorer les conditions de combat des aquanautes.
Symbolisé par la présence de Jarod Campbell dans les rapports, les personnages scientifiques et ingénieurs auraient eu un grand rôle, notamment dans l'utilisation des artéfacts et cadavres récupérés sur le front. Les autopsies auraient permis de débloquer de nouveaux sujets de recherche, permettant pour certains de porter des armures en peaux de mutants pour infliger la peur dans les rangs ennemis... et gagner des capacités de ces créatures.
Des sous-marins de combat auraient été pilotables, si la recherche avait abouti, permettant de rendre nettement moins menaçants certaines créatures teasées mais au final pas déployées.
Il était question d'une mort permanente pour les PJ (pour les joueurs le souhaitant) : Évitée de peu à l'event final pour une certaine druidesse, la mort aurait eu deux conséquences directes et une indirecte.
- L'équipement, les notes de recherche, l'or, toutes les possessions et connaissances du personnage décédé auraient été perdues.
- L'ennemi aurait pu prendre le cadavre pour l'autopsier et ainsi découvrir des technologies et armes spécialement conçues contre les aquanautes.
- Si un aquanaute avait été tué par un tentacule du Père, par un Hallucinoïde ou un Calcinite, il aurait été relevé en version zombifiée, sous contrôle mental du père (cf. le passage dans le premier rapport de Sthelios)
- Indirectement, la mort d'un aquanaute aurait provoqué une chute dans le moral et l'envie de combattre, mettant en péril la mission...
Easter Eggs- Il était possible pour certains joueurs s'éloignant trop de leur objectif de tomber nez à nez avec Bourbie (Murky), le murloc jouable de Heroes of the Storm et de certaines expéditions de Legion. Totalement inoffensif, l'aider aurait débloqué... des murlocs alliés pour la mission finale.
- De la même manière, deux sirènes nagas existaient, dont une a été "domptée" par Armadyl. Meroune Loreleï est ainsi une référence absolument pas cachée au personnage du même nom du manga ecchi Monster Musume no Iru Nichijou. Ariella, la petite sirène, était une évidente référence au conte de la petite sirène. Cette fois, cependant, elle aurait eu en haut le côté poisson et en bas le côté nana...
- Le PNJ responsable des autopsies, le docteur Teegan, porte le même nom que le personnage de XCOM 2, celui sorti en 2016.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas !